Cher Toi,
Je me suis encore remise en décalage, naturellement.
Parce que j'ai trop veillé,
Je plonge voluptueusement
Dans les bras de Morphée !
Et là, Merveille !
Me voici au Royaume des Songes...
A qui je songe ?
A toi, Cher Toi !
A la chair que tu chéris,
De ta chère chérie...
De Sémiramis à Artémis,
J'aime quand tu mises
Sur les plaisirs, toute ta mise...
Loin de resté de glace
Lorsque se pointent les Saints
Et que pointent mes seins...
Tout autant, j'apprécie aussi
Lorsque le Colosse se pointe
Tel le Phare d'Alexandrie
Au summum de sa vie...
Loin du statut de la statue
Nos corps sont tendus
Et nos lèvres, suspendues...
Tu te délectes des mots,
Sans maux
Jusqu'au Mont...
Ça monte, ça monte !
Merveille des merveilles...
Nos sens ensemble s'éveillent...
Viens, viens !
Pour le meilleur des réveils...
Crédit Illustration : Le Baiser - Klimt (1907-1908)
Je me suis encore remise en décalage, naturellement.
Parce que j'ai trop veillé,
Je plonge voluptueusement
Dans les bras de Morphée !
Et là, Merveille !
Me voici au Royaume des Songes...
A qui je songe ?
A toi, Cher Toi !
A la chair que tu chéris,
De ta chère chérie...
De Sémiramis à Artémis,
J'aime quand tu mises
Sur les plaisirs, toute ta mise...
Loin de resté de glace
Lorsque se pointent les Saints
Et que pointent mes seins...
Tout autant, j'apprécie aussi
Lorsque le Colosse se pointe
Tel le Phare d'Alexandrie
Au summum de sa vie...
Loin du statut de la statue
Nos corps sont tendus
Et nos lèvres, suspendues...
Tu te délectes des mots,
Sans maux
Jusqu'au Mont...
Ça monte, ça monte !
Merveille des merveilles...
Nos sens ensemble s'éveillent...
Viens, viens !
Pour le meilleur des réveils...
Crédit Illustration : Le Baiser - Klimt (1907-1908)
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